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.Laurent G est né à Châtellerault en 1970 ; très jeune il est attiré par l’art en général et très tôt il exécute quelques sculptures en métal, il crée une série de bronzes animaliers et des bijoux.Le métal est un matériau qu'’il connaît bien car il fait une formation dans l’industrie mécanique, les techniques de fonderie d’art lui permettront de réaliser quelques bronzes animaliers et le dessin technique lui assurera rigueur et précision.Il juge ses créations décoratives mais sans intérêt artistique.En parallèle il commence à peindre et arrête très vite car les résultats ne sont pas satisfaisants, il détruit presque l’ensemble de ses réalisations picturales.Il visite de nombreux musées, fréquente de nombreuses expositions, il est fortement attiré par les cabinets de curiosités. Sa rencontre avec les arts rupestres et les arts premiers lui apporte une autre dimension sur sa vision de l’art, l’artiste n’a pas forcément reçu de formation artistique pour créer des œuvres intéressantes. Cette conclusion le libère d’un carcan qui freinait ses créations.En parallèle il se passionne non seulement pour les arts premiers mais aussi pour les rites qu'’il pense être indissociables de cet art. L’homme religieux sous toutes ses formes l’intéresse. « L’art rupestre et le chamanisme » de Jean Clottes est pour lui un ouvrage important.« Quelque soit ses origines, sa culture, sa religion, l’homme religieux entre parfois dans des états de transe qui lui permettent de réaliser des œuvres d’art qu'’il serait incapable de réaliser dans un état normal. »A force de fréquenter musées et expositions il s’aperçoit qu'’il ressent des émotions similaires aussi bien devant des peintures rupestres que des ouvres de Raphael, Bellini ,Basquiat, Bacon, Soutine. L’œuvre de Jean Michel Atlan l’influence beaucoup dans sa décision de peindre de nouveau.Au contact de ces chefs-d’œuvre, il comprend que la technique artistique n’est qu'’un moyen d’expression, que tous ces artistes ne mettent pas seulement de la couleur sur un support mais que l’essentiel est d’y imprimer des émotions.Dès ce jour il comprend que la techniques n’est pas seulement importante mais que tous ces peintre ne mettent pas seulement des couleurs sur un support mais que l’essentiel est d’y mettre des émotions.Dès lors il décide d’abandonner l’huile pour l’acrylique et de peindre sur des grands formats et concentre toute son énergie à l’impression de ses émotions profondes sur sa toile dans une exécution rapide et intuitive, dans un état que l’on pourrait qualifier de transe hypnotique ; il veut exprimer sur sa toile l’énergie d’un instant.Il peint toujours en extérieur car pour lui la lumière y est incomparable, elle révèle les couleurs. Ce lieu conditionne son rythme de travail , les mois d’hiver sont des périodes « d’hivernage artistique » qui lui sont nécessaires afin de tirer profit de ses expériences artistiques avant de recommencer un nouvelle période de création.Pour lui, pour arriver à une production intéressante il faut peindre beaucoup et détruire ce qui ne semble pas correspondre à ce qu'’il attendait à l’ instant où il peint.Il a jusqu'’à ce jour peu montré sa production, ses premières expositions furent pour lui une source de beaucoup d’appréhensions « car c’est révéler au public une partie de soi même ».Dès ses premières expositions ses toiles suscitèrent l’intérêt du public.

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